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- Autore della Tesi: Gianpaolo Gabrieli
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Analyse de un meurtre Gianpaolo GABRIELI matr. nr. 4015
Thèse finale en
Sciences Criminologiques
ANALYSE DE UN MEURTRE
Relateur: Paola FABRIS
Candidat: GABRIELI Gianpaolo
Matr. n. 4015
ABSTRACT (IT)
Nell’introduzione di questo lavoro ci si è posto una domanda: perché il male? Le religioni lo adducono ad interferenze maligne, spiriti, demoni, che spingono le persone “comuni” a fare del male, ad uccidere, ad uccidersi. Nell’evoluzione storica e socio-culturale altre spiegazioni ci hanno confortato al riguardo e la letteratura scientifica-umanistica ha fornito elementi di studio che affrontano il problema. Nella psicoanalisi freudiana si affronta il problema con lo studio dell’inconscio e la nota tripartizione della psiche umana tra Es, Io e SuperIo in cui la componente dell’Io media tra l’Es, che non conosce negazione e contraddizioni, in quanto espressione di bisogni primordiali ed il SuperIo, espressione della morale e dell’etica.
Filosoficamente quindi ciò che pone un argine alle condotte asociali è la morale, che assume però diversa rilevanza tra le varie componenti sociali che hanno posto alla base delle loro relazioni quell’insieme di princìpi che ne guidano il comportamento, che si estrinsecano nella loro applicazione con l’etica. Due aspetti questi che dovrebbero esplicare la capacità umana nel distinguere il bene dal male.
Ecco che allora si cambia prospettiva e la domanda diventa: perché alcune persone commettono azioni così deplorevoli, disumane? Una domanda alla quale il mio lavoro di poliziotto cerca ogni giorno di dare una risposta e che, nel caso in esame, suscita altri interrogativi in quanto l’assassino, che ha ucciso la propria madre, ancorché adottiva, non è stato dichiarato incapace di intendere e di volere, neanche in relazione alla sua minore età (aveva 17 anni quanto ha commesso il fatto).
Nello studio del caso è stato eseguito un lavoro certosino nel reperire gli atti di indagine, compresi in un fascicolo processuale di centinaia di pagine. Nell’acquisizione è stato rispettato l’elemento Analyse de un meurtre Gianpaolo GABRIELI matr. nr. 4015
cronologico al fine di fornire un’analisi puntuale dei fatti e delle successive attività investigative poste in essere. La documentazione fotografica è stata acquisita direttamente dal Fascicolo Processuale, focalizzando l’attenzione solo a quelle relative la fase del sopralluogo e quindi alla cristallizzazione della scena del crimine, tralasciando volutamente quelle dell’esame autoptico della vittima. Ci si è confrontati con i colleghi che hanno operato, analizzando le diverse metodologie applicate dai vari attori intervenuti; ascoltare e raccogliere le loro impressioni, senza tralasciare le dinamiche che inevitabilmente coinvolgono l’aspetto umano all’approccio investigativo, in contrapposizione alla necessaria professionalità che deve prevalere nell’obiettività analitica dei fatti.
Al di là della risonanza mediatica, sia a livello locale che nazionale, che il caso di omicidio in esame ha rivestito, sono stati considerati alcuni aspetti che lo rendono particolarmente importante per quanto attiene l’analisi criminologica, con particolare riferimento all’ambito applicativo degli argomenti didattici sostenuti nel percorso formativo seguito presso l’Istituto MEME di Modena.
Invero è presente, anche se implicitamente, un approccio multidisciplinare nell’analisi del caso, con particolare riferimento al contesto familiare nel quale si è esplicata la vicenda e dell’omicida. Non mancano infatti interventi, qualora indiretti, di psicologi, medici, assistenti sociali e sociologi; perizie tecniche di esperti del settore, che hanno contribuito a delineare e poi a sostenere gli aspetti soggettivi e oggettivi dell’omicida e ricostruire esattamente da dinamica dell’assassinio. Aspetti quali violenza e devianza, relazione tra comportamento-predisposizione criminale ed “ereditarietà” familiare sono tutti presenti ed ognuno di essi parrebbe essere determinante nell’epilogo della storia, che riguarda in particolare due fratellini adottati, sottratti alle violenze dei genitori naturali.
Aspetti che rinveniamo nel momento in cui si cerca di spiegare le cause che hanno determinato un crimine con un approccio criminologico, avvalendosi degli studi antropologici, riferiti alla natura dell’uomo e sociologici, che riporta il crimine nell’alveo di un fenomeno sociale ed alle sue relazioni interpersonali. Analyse de un meurtre Gianpaolo GABRIELI matr. nr. 4015
ABSTRACT (FR)
Dans l’introduction de ce travail, nous nous sommes posés une question: pourquoi le mal? Les religions le lient à des interférences malignes, à des esprits, à des démons qui poussent les personnes « communes » à faire du mal, à tuer ou à se tuer. Dans l’évolution historique et socio-culturelle, des autres explications nous ont consolés sur cela. La littérature en sciences humaines nous a donné les éléments d’étude qui font face au problème. Dans la psychanalyse de Freud on aborde le problème avec l’étude de l’inconscient et la bien connue tripartition de la psyché humaine parmi le Ça, le Moi e le Surmoi. Ici la composante du Moi est un médiateur entre le Ça, qui ne connait pas de négation et de contradictions en tant qu’expression des besoins primitifs, et le Surmoi qui est l’expression de la morale et de l’éthique.
Cependant, du point de vue philosophique, la morale est ce qui pose une limitation au comportement antisocial, qui par contre prend un rôle différent par rapport aux plusieurs composantes sociales qui ont posé comme base de leurs relations l’ensemble des principes qui en guident le comportement et qui se traduit dans leur application avec l’éthique. Ces deux aspects devraient expliquer la capacité humaine de distinguer entre le bien et le mal.
Voici alors que l’on change la perspective et la question devient : pourquoi certaines personnes commettent des actions ainsi déplorables et inhumaines ? Une question à laquelle mon travail de policier essaie tous les jours de trouver une réponse et qui, dans le cas en objet, dégage des autres interrogatifs parce que l’assassin, qui a tué sa propre mère, bien que adoptive, n’a pas été déclaré incapable de comprendre et de vouloir, même pas pour être un mineur (il avait 17 ans quand il a commis le crime).
Dans l’étude du cas nous avons fait un travail de bénédictin dans la recherche des mesures d’enquête, y compris un dossier de procédure de centaines de pages. Dans l’acquisition nous avons respecté l’élément chronologique afin de donner une analyse ponctuelle des événements et des activités d’enquête suivantes. Nous avons acquis les documents photographiques directement du dossier de procédure en focalisant l’attention seulement sur les étapes de vérification sur place et sur la cristallisation de la scène du crime. Nous avons voulu négliger les parties concernant l’analyse autoptique de la victime. Nous nous sommes confrontés avec des collègues qui ont travaillé en analysant les différentes méthodes appliquées par les plusieurs acteurs qui sont intervenus. Nous avons écouté et recueilli leurs impressions sans oublier les dynamiques qui de manière inévitable font participer la composante humaine dans l’approche d’investigation en opposition avec le professionnalisme qui doit prévaloir dans l’objectivité analytique des événements. Analyse de un meurtre Gianpaolo GABRIELI matr. nr. 4015
Au-delà de la résonance médiatique, au niveau local et national, de ce cas d’homicide, nous avons considéré des aspects qui le rendent très important du point de vue de l’analyse criminologique avec une particulière référence au milieu applicatif des sujets didactiques soutenus dans la formation suivie à l’Institut MEME de Modène.
En effet, nous sommes face à un approche multidisciplinaire dans l’analyse du cas, même si de manière implicite, avec référence spécifique au contexte familial où l’épisode s’est passé et au contexte de l’assassin. A’ce propos, il y a beaucoup d’interventions, certaines fois indirectes, de psychologues, de médecins, d’assistants sociaux et de sociologues ; les rapports techniques des experts du secteur qui ont contribué à définir et après à soutenir les aspects subjectifs et objectifs de l’assassin et à reconstruire exactement la dynamique de l’homicide. Des éléments comme la violence et la déviance, la relation entre comportement-prédisposition criminelle et « héritage » familial sont tous présents et chacun d’entre eux semble être décisif dans la conclusion de l’histoire qui concerne spécifiquement deux petit frères adoptés et retirés des violences de leur parents naturels.
Ces éléments reviennent au moment d’expliquer les raisons d’un crime avec un approche criminologique en s’adressant aux études anthropologiques référées à la nature de l’homme et aux études sociologiques qui conduisent le crime au sein d’un phénomène social et aux relations interpersonnelles.